samedi 26 novembre 2016

Dialogue de sourds.

Les deux réunions publiques organisées ce jeudi 24 novembre, à propos de la fusion CAPCA/Pays de Vernoux, ont connu un beau succès public. Nombreux ont été les citoyens à venir s'informer auprès des élus et leur poser leurs questions. Nombreux ont-ils été aussi à en ressortir déçus, sans que le chemin sur lequel on nous pousse en soit éclairé.


Franchement, au moment de me mettre au clavier, j'étais un poil désabusé, prêt à vous écrire : « Tout ça pour ça ! » Et puis à la réflexion, après quelques coups de fil amis et de soutien, après quelques visites d'encouragement, je me suis dit que nous avions fait œuvre utile. A l'efficacité encore hypothétique voire douteuse, mais utile.

Oeuvre utile dès 18 heures, salle sous la Poste, où les débats ont été menés rondement, compte-tenu du peu de temps disponible.

Quatre vice-présidents de la CAPCA, Emmanuelle Riou (1ère adjointe à La Voulte), Michel Valla (maire de Privas), François Veyreinc (maire de Lyas), Alain Sallier (maire de Chalencon) et un conseiller communautaire, François Arsac (maire de Chomérac), avaient répondu à notre invitation.
Et c'est ce dernier qui fut d'ailleurs, grâce à la liberté de parole que lui offre sa position en dehors de l'exécutif, le plus direct, le plus offensif dans son propos, confirmant ce que nous dénonçons depuis des mois: "Ce mariage est une simple opération de politique politicienne qui ne tient absolument pas compte des intérêts des habitants des deux entités." Des propos approuvés et illustrés de nombreux exemples par l'ensemble des élus de la CAPCA, unanimes pour regretter "cette union à la hâte, sans concertation et contre-nature" que presque tous avaient d'ailleurs rejetée: il faut rappeler que le conseil d'agglomération avait majoritairement voté contre le projet du Préfet, un vote à portée simplement consultative malheureusement...

En vrac, on a appris ou vérifié que les finances et les moyens de la CAPCA, ce n'est pas brillant... Que les projets de la CAPCA, ça ne va pas très loin... Que la CAPCA est une construction artificielle et tentaculaire. Qu'à peine élargie et formée (en 2014), elle est déjà re-formée et encore agrandie, à peine en ordre de marche et déjà obligée d'absorber en toute hâte un voisin qu'elle n'avait pas choisi. Que ses dissensions internes sont réelles, palpables et permanentes et, du coup, paralysantes, surtout avec cette nouvelle bataille pour la majorité qui s'engage, incertaine, à l'occasion de la nouvelle élection du bureau (le 21 décembre) que cette fusion impose.
Bref, notre arrivée va encore attiser la guerre des clans, avec l'irruption d'une Martine Finiels plus politique que jamais en cette période où elle essaie de conforter ses positions quand son camp en est réduit, pour sa part, en apnée, de sauver ce qui peut l'être... Confirmation : nous débarquons dans un panier de crabes. Et l'apaisement ne semble pas encore à l'ordre du jour.

Dans ce tableau inquiétant, certains propos ont cependant tendu à rassurer, comme ceux de Michel Valla, qui a expliqué que la balance entre Privas et les communes rurales restait plutôt favorable à ces dernières, malgré les charges de centralité que la ville-siège espère faire partager. Ou encore les réponses d'Alain Sallier aux inquiétudes concernant le tourisme local, dont l'organisation et la promotion ne devraient pas être affectées par ce changement d'échelle et de statut.

Mais pour le reste, les informations glanées nous incitaient plutôt au pessimisme avant notre débarquement, en masse et à 19 heures, à la salle du Lac.


Là, oeuvre utile encore, mais changement de ton, évidemment! La présidente de la CC Pays de Vernoux, le vice-président de la CAPCA, Didier Teyssier, puis la présidente Laetitia Serre ont tenté de juguler la grogne en l'arrosant d'un jet sirupeux, ce langage souvent hermétique, verbeux et maniéré ("nous allons travailler en lien avec les acteurs du territoire" plutôt que "nous allons associer la population" – il serait temps !) qui accompagnait un interminable exposé truffé de sigles et de termes techniques incompréhensibles aux non-initiés. Il s'agissait de montrer qu'on est à la tâche, qu'on y met du cœur mais que c'est complexe et inaccessible au simple quidam. Il s'agissait surtout de soûler l'auditoire avec ce diaporama abscons dont Martine Finiels ânonnait le moindre mot au micro ! Objectif largement atteint quand le public eut ainsi compris que l'on assisterait à un dialogue de sourds : d'un côté la caste savante, embarquée dans des explications fumeuses pour faire accroire qu'il y a un projet derrière ces intentions aussi vagues que creuses, aussi incantatoires qu'indéfinies et incertaines ; de l'autre le petit peuple, inquiet pour l'avenir de son territoire, de ses équipements et de... son portefeuille, qui tentait de ramener ses interlocuteurs vers les questions concrètes de son quotidien. Sans jamais obtenir de réponse claire et nette. Et pour cause : le contrat de mariage est signé au bas d'une page blanche puisque rien n'est acté et que tout sera négocié, à la petite semaine, ultérieurement. Selon un rapport de force (7,6% de la population, 11,4% des délégués) qui n'est pas vraiment en notre faveur. Quid de la piscine, de la maison de santé, de la fiscalité ? Un grand flou. Avec, à propos des impôts, ce 0,71 mensonger sorti de son sac par Mme Finiels : vous avez compris, comme l'ensemble du parterre, que ce serait 0,71% ? Grave erreur !!! Il s'agit d'un coefficient et pas d'un pourcentage. Ce 0,71 se traduit par plus de 7% d'augmentation !!!* Voilà comment utiliser le jargon pour endormir le contribuable...
Et avec deux remarques au passage : Emmanuelle Riou, qui avait fait l'effort de participer aux deux réunions, n'a même pas été invitée à la table des élus par Mmes Finiels et Serre, alors qu'elle est vice-présidente de la CAPCA... en charge des finances ! Son départ bien avant la fin en a dit sans doute très long sur son humeur devant ce boycott de sa parole et de son expertise, elle qui aurait pu avoir des propos libres et indépendants, donc dérangeants pour les présidentes en place.


Dans ce fatras d'incompréhension et de maquillage des réalités, pas moyen de repérer une quelconque dynamique, un espoir d'avancée, une lumière à l'horizon. Comme l'a dit Roland Fernandez : « Nous ne sommes pas inquiets pour le social, les anciens, la petite enfance, les démunis... Le social, vous savez faire ! Mais l'économique bon sang, l'économique qui devrait être votre priorité !! » L'économique, on lui tourne le dos en s'orientant vers Privas...

Pourtant, le développement économique est officiellement la première compétence obligatoire dans la liste de celles qui incombent à une intercommunalité. Là, preuve de l'intérêt qu'elle suscite, elle est confiée à un élu qui a fait carrière comme.... contrôleur de l'URSSAF !!! Pas vraiment le bon VRP pour attirer les entreprises ! Comme si on choisissait un épouvantail pour attirer les oiseaux ! A croire qu'ils le font exprès, que la provocation est devenue la seule pirouette à opposer aux difficultés.Plus on fait d'économique, moins on a à faire de social ! Mais on a eu l'impression d'assister à un concert, en sourdine, du « Mala Vista Social Club »...

La seule alternative consiste à rebattre les cartes de la gouvernance à la mi-décembre (la date ne semble pas définitivement fixée), lors de l'élection du nouvel exécutif. Ces clés-là sont dans les mains des élus de notre Pays de Vernoux. Je le leur ai dit et je vous le répète : si les gens de la CAPCA sont montés jusqu'à nous, c'est d'abord parce que vos voix les intéressent... La seule force de nos huit représentants, c'est qu'ils peuvent faire et défaire les majorités. Qu'ils sachent préserver ce privilège en ne se donnant à personne et en ne suivant, dans leurs choix, que l'intérêt de notre plateau. Nous suivrons les délibérations de très près et c'est à cette capacité d'indépendance que nous jugerons leur action et les accompagnerons de notre confiance.

Les semaines qui viennent sont cruciales pour prendre la voie d'un minimum de dynamisme au détriment de celle d'une inévitable stagnation et du ronron sans perspective motivante que l'on voudrait nous imposer.

Nous serons vigilants.
Merci à tous de votre participation et de votre soutien.

Patrick Lafayette



(*) On nous objectera sans doute que si la « neutralité fiscale » est votée, elle nous préservera d'une telle envolée, au moins dans l'immédiat . 1. Cette « neutralité fiscale » (qui passe par l'acceptation de certaines communes à payer un peu plus que les autres) doit d'abord être votée à l'unanimité des conseils municipaux, et ce n'est pas acquis ; 2. Si elle est votée, elle s'accompagne de concessions financières, notamment en termes de « charges de centralité », qui, au final, valent augmentation... Mais je vais éviter d'entrer dans ce dédale technique, nous vous détaillerons ça si les circonstances... l'imposent !

lundi 21 novembre 2016

En attendant jeudi.

Bonjour à tous.

Le rendez-vous est donc ferme et définitif désormais, ce jeudi 24 novembre: réunion publique à 18 heures pétantes avec les élus d'opposition de la CAPCA et des élus du Pays de Vernoux à la salle sous la Poste – on fera vite mais dense... ; puis réunion publique à 19 heures avec les présidentes des deux intercommunalités à la salle du Lac.

La dernière (et seule) occasion d'obtenir des infos – ou pas! - de la bouche même des acteurs avant la fusion, le 1er janvier prochain.

En attendant, quelques éléments récents à intégrer avant ce double rendez-vous:
  • L'entreprise de sauvetage de Pierrefeu ou le développement des moyennes ou petites structures artisanales sur Châteauneuf, comme la visite de leurs représentants l'a montré la semaine dernière, passent désormais par une sollicitation de la Région, qui a récupéré la compétence économique; un exemple de plus qu'il faut savoir dépasser les clivages politiques, sources de blocage et d'inefficacité, pour agir en faveur de nos territoires ruraux.
  • La rencontre que nous avons eue, Roland Fernandez et moi-même, lundi dernier à Privas avec Pascal Terrasse, le député de notre circonscription, a été à la fois utile et instructive. Si M. Terrasse soutient que les arguments en faveur de la fusion ("Ce sont deux pays culturellement très proches") comme ceux qui s'y opposent ("Cette intercommunalité deviens ainsi immense et, d'un point de vue économique, je reconnais que ce n'est pas le meilleur choix...") sont également recevables, il n'a pas voulu se mêler d'un débat "tranché par le vote des élus et qui n'est pas de [son] ressort". En glissant tout de même ce conseil donné à Laetitia Serre, la présidente de la CAPCA: "Mettre en place des instances de concertation qui permettront de consulter la population et de l'associer aux décisions."
  • La Ville de Privas poursuit son projet de stade nautique à 10,5 millions d'euros et vient d'acheter les terrains de l'ancienne gare pour son implantation; quand l'élection de la nouvelle équipe communautaire (le 15 décembre) sera passée, ce sujet resurgira aussitôt, avec d'autres pommes de discorde comme le théâtre ou les transports publics. Cette élection de mi-décembre s'annonce disputée et cruciale: les élus du Pays de Vernoux, évidemment très courtisés, ont les moyens de faire ou défaire les majorités; c'est un atout précieux, ils doivent savoir en user intelligemment, sans "se vendre" à un camp ou l'autre.
  • Les graves soucis que provoque l'union de Rhône-Helvie (Le Teil) et Barrès-Coiron (Cruas) sont révélateurs des difficultés qui risquent de survenir dès notre "annexion" par la CAPCA: bien que ces deux communautés aient anticipé leur fusion par une concertation étroite et permanente depuis début 2016, l'harmonisation des aspects financiers et fiscaux, entre des ensembles économiquement très déséquilibrés, devient une irréductible pierre d'achoppement. On y va droit vers la bagarre de chiffonniers.
  • Si vous voulez en savoir plus, je vous mets ci-dessous les trois derniers articles publiés à ce sujet par le Dauphiné Libéré.
  • Le déséquilibre de notre "mariage" à nous étant – au moins - de deux ordres, du budget et de la taille (7 communes et 3 200 habitants face à 35 communes et 41 000 habitants), notre marge de manoeuvre est inexistante, comme le prouve déjà l'alignement de nos statuts sur ceux la CAPCA.
  • Bonne lecture, si vous voulez vous faire une idée de ce qui se passe un peu plus au sud!
  • Et à jeudi donc! Venez avec vos questions et observations et n'hésitez pas à mettre les élus sur le gril! Ils ne mordent pas, au contraire, j'en fais régulièrement la tranquille expérience.
Bien à vous.
Patrick Lafayette







vendredi 18 novembre 2016

Enfin!!!

Bonjour à tous.

Réunion(s) le 24 novembre! Nous y sommes. Enfin! Au bout d'une quête sans relâche commencée dès le mois de janvier, lors de la cérémonie des voeux 2016 de Martine Finiels...

Depuis lors, nous n'avons cessé de contester son choix d'emmener le Pays de Vernoux vers la CAPCA, depuis lors nous n'avons cessé de lui demander d'en donner les raisons, depuis lors elle n'a cessé de repousser son devoir d'information de la population et de dialogue avec ses administrés.
Mais finalement, onze mois après, à force d'insister et aussi parce qu'un certain nombre d'élus du Pays de Vernoux et du bassin privadois nous ont soutenus, se sont affranchis de sa volonté de diktat et ont accepté de venir à notre rencontre, Madame Finiels a dû se résoudre à tenir une réunion publique.
Certes, il est bien tard et même trop tard, d'une certaine manière, puisque la fusion est actée et entrera en vigueur le 1er janvier prochain. Mais il est encore temps de faire entendre notre voix, de manifester notre inquiétude et notre désapprobation, de montrer que nous ne sommes pas dupes, qu'une opposition citoyenne existe aux visées politiciennes, au mépris de la concertation et de l'intérêt général. De prendre date.
Et, au-delà, d'instituer, et en le faisant même inscrire dans les textes, un mode de vigilance qui permettra de contrôler l'exécutif de la nouvelle intercommunalité et d'influer sur ses décisions. Bref, de reprendre la main sur ce qu'il est encore possible de sauver. Parce que ce mariage contre nature et contre notre gré ne sera pas sans conséquences.

A cet égard et pour en prendre la mesure, la double rencontre qui nous est proposée jeudi 24 novembre à Vernoux est une opportunité unique à ne pas manquer :
  • A 18 heures, salle sous la Poste, à notre invitation, un grand nombre de maires, élus et conseillers communautaires de la CAPCA et du Pays de Vernoux viendront répondre à vos interrogations.

  • Soyez très ponctuels, nous aurons peu de temps...
  • Parce que...
  • A 19 heures, Martine Finiels et Laetitia Serre nous recevront salle du Lac pour nous délivrer la version « présidentielle » et se résoudre au débat.

Pour tous ceux qui veulent avoir une idée de ce que l'avenir, dans cette communauté d'agglomération, nous promet, la présence aux deux réunions successives est indispensable : ils pourront prendre leurs sources auprès de toutes les parties, toutes les sensibilités, obtenir et confronter tous les points de vue et se forger leur propre opinion sans se contenter de la moulinette « officielle » forcément tiède, complaisante et lénifiante.

Vous avez été nombreux à soutenir notre action, j'espère que vous serez nombreux à la mener jusqu'au bout et ouvrir les pistes pour la prolonger.

A Vernoux ce jeudi, c'est de notre future vie quotidienne, de l'avenir économique et social du plateau, d'une grande partie de nos prochains prélèvements fiscaux dont il sera question.

Venez participer à ce moment rare où, au-delà de notre simple bulletin de vote, on pourra vraiment saisir les clés de la politique locale et, si on crée le bon rapport de force, l'infléchir durablement.

N'avez-vous pas envie d'arrêter de subir ? Ou au moins essayer ?

En trois heures de temps TTC, le 24, vous pourrez vous offrir ce petit frisson. Qui peut déboucher sur une nouvelle donne. Au pire, sur un coup à boire...


Martine Finiels a annoncé qu'elle offrirait un pot à l'issue des échanges... Allons-nous trinquer, Madame la Présidente ?

Patrick Lafayette

jeudi 10 novembre 2016

Jeudi 24 novembre... à 18 ou 19 heures?

Bonjour à tous.

J'ai tardé à communiquer, toujours dans l'espoir d'une réponse de la part des élus d'opposition à la CAPCA. Mais comme nous sommes à la veille d'un week-end prolongé et de commémorations, j'ai pensé qu'il n'y aurait rien de neuf avant la semaine prochaine... Aussi, je viens faire un point le plus précis possible auprès de vous.

Résumé de la situation:
  • Une demande avait été faite auprès de l'ENSEMBLE des élus de la CAPCA pour qu'ils tiennent prochainement une réunion publique à Vernoux sur les conséquences et perspectives de la fusion.
  • Les élus d'opposition, Michel Valla (maire de Privas) en tête, nous avaient proposé de venir à notre rencontre le jeudi 24 novembre à 18 heures (salle sous la Poste à Vernoux).
  • Entre-temps, Martine Finiels (présidente du Pays de Vernoux) et Laëtitia Serre (présidente de la CAPCA) ont décidé, en réponse à notre sollicitation, d'organiser une réunion publique... le même jour, jeudi 24 novembre, à 19 heures (salle du lac aux Ramiers)!
  • Devant ce téléscopage, nous avons proposé à M. Valla et aux élus d'opposition de maintenir le rendez-vous de 18 heures avant de se rendre tous ensemble à celui de Mmes Finiels et Serre.
  • Malgré notre insistance depuis plusieurs jours, M. Valla et les élus d'opposition ne nous ont pas encore fait connaître, ce jeudi 10 novembre à 17 heures, leur position.

Je vous invite donc à cocher la date du jeudi 24 novembre dans votre agenda. Je vous dirai aussi vite que possible si la réunion de 19 heures à la salle du lac aux Ramiers sera précédée, comme nous le souhaitons tous pour ne pas avoir qu'un seul son de cloche, par un autre rendez-vous d'information le même jour à 18 heures.




En tous cas, le but est atteint, même s'il est tardif et qu'il a fallu batailler ferme pour l'obtenir: des "échanges" (c'est le mot employé dans le courriel que j'ai reçu) avec Martine Finiels et les élus (ou, au minimum, la présidente) de la CAPCA seront enfin possibles... Une occasion à ne pas rater pour poser toutes les questions que ce mariage intercommunal suscite. Nous comptons donc sur vous pour y participer nombreux et y faire entendre votre voix.

Par ailleurs, juste deux éléments d'actualité à signaler :

  • Les surcoûts engendrés par la modification du parking de la maison de santé de Vernoux ou les nouvelles normes imposées aux constructions destinées à l'accueil d'entreprises (et notamment la malterie) à la "friche Rhodacoop" à Vernoux, les modifications de compétences pour aligner le Pays de Vernoux sur la CAPCA ou encore la « création d'une société de projet pour le développement des énergies renouvelables » sont passés dans une rerlative indifférence lors du dernier conseil communautaire.
  • Les premières délibérations sur « le pacte statutaire » que doivent adopter, une par une, les communes du nouvel ensemble ainsi formé, montrent qu'on va aller vers une représentativité à 70 élus plutôt que 64... Encore une possibilité d'économie d'échelle qui s'envole !

Aussitôt que je le sais, je vous tiens informés de l'heure du rendez-vous le 24 novembre prochain. Mais que ce soit dès 18 heures à la salle sous la Poste ou à 19 heures à celle du lac aux Ramiers, réservez votre soirée ! D'autant que Madame Finiels a annoncé qu'il y aurait un petit pot à boire ensuite, « qui permettra de prolonger les discussions »...

Bien à vous.

Patrick Lafayette